mardi 14 avril 2009

Le passé de Papyr : Episode 3

Voici ce qui arriva à Papyr après sa vie de corsaire.
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Papyr ne s'arrêta pas pour autant et continua l'exploration de l'Amérique du Sud toujours à la recherche de l'arbre à cookies.
Là encore malgré des années de recherches au plus profond de la forêt amazonienne, l'arbre restait introuvable. Saisi par le doute sur le réalisme de sa quête, il erra dans la forêt quelques années.

Une fois arrivé tout au Sud, il eu la bonté de montrer le chemin à un marin égaré du nom de Magellan. Celui-ci était à la recherche d'épices et non de l'arbre à cookies. Papyr trouva cela étrange, mais respecta cet état de fait. Il nomma le chenal qu'il lui indiqua du nom du marin, comme ceci, il serait sûr de le retrouver la prochaine fois...
Mais tous ceux qui errent ne sont pas perdus. Il rencontra un peu plus au Nord la tribu des Astécya. Cette civilisation ancestrale vénérait la fève de cacao et était structurée hiérarchiquement par la taille des cernes (ainsi celui qui avait les plus belles marques noires sous les yeux, était le chef du village, un exemple typique de hiérarchie sociale basée sur le travail).

De cette rencontre, de nombreux documents sont parvenus jusqu'à nous, dont le plus célèbre est sans doute cette peinture rupestre de la région de cacaoville, la capital des Astécyas, spécialisée dans la confection de délicieuses pétites chocolatées.

Les immenses cernes de Papyr lui valurent immédiatement le statut de dieu vivant, et il consacra ainsi plus d'un siècle à disperser les vertus du marshmallow philosophal à des générations entières d'Astécya.

Ces derniers se développèrent technologiquement tout en restant en communion avec la nature et connurent une période de paix et de prospérité des arts et des sciences. Malheureusement, l'explosion du volcan de Yellowrock englouti toute la civilisation Astécya.
Seul survivant du cataclysme, et le coeur débordant de tristesse, il enterra dans un temple secret tous les vestiges de la civilisation Astécya et le marschmallow philosophal. L'entrée de temple ne pouvant désormais n'être révélée que par l'union des treizes ratons-laveurs de cristal, qu'il dispersa aux 5 coins de la planète. (En supposant que la planète aie des coins...)


Puis il s'installa à Paris, avant de croiser par hasard le chemin de deux types avec des chapeaux à Paris, le 3 août 2008. Vous connaissez la suite...

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Merci à Charlotte et Mathilde pour les dessins

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